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Je t’aime, moi non plus
Kazuma Kodaka   Kizuna (vol. 1)
Editions Tonkam 2004 /  7.50 € - 49.13 ffr. / 192 pages
ISBN : 2-84580-546-2
FORMAT : 11x18cm
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Ranmaru, capitaine de l’équipe de Kendo, partage sa vie avec Kei, fils d’un yakuza sur le déclin. Kei devient alors l’objet de toutes les convoitises, cible idéale pour les postulants au titre de successeur de son père. Au cours d’un attentat perpétré contre le jeune homme, Ranmaru est hélas gravement blessé : il ne pourra plus jamais faire du kendo. Kei, rongé par la culpabilité, ne se pardonne pas le malheur arrivé à son bien aimé. Mais les soucis s’enchaînent en la présence de Kaï, demi-frère de Kei follement amoureux de Ranmaru, qui s’incruste sans scrupule sous le toit des deux amants afin de conquérir l’objet de son cœur…

On retiendra avant tout l’esthétisme de ce premier tome qui mêle habilement amour, haine et envie. Parfois maladroit, le scénario se révèle être une succession de petites histoires simples, sans intrigue à proprement parler. Même si la série peine un peu à se mettre en place au début, avec son côté fleur bleue et grandiloquent, un ton et une ambiance bien particuliers se détachent peu à peu de l’ensemble. Beaucoup de passions, quelques scènes d’érotisme soft et un peu de violence agrémentent ce manga à l’humour pas toujours des plus raffinés. Bref, cette galerie de jeunes éphèbes glabres et peu charismatiques s’adresse avant tout aux amateurs du genre. En effet, la passivité de Kei et la naïveté de Ranmaru en agaceront plus d’un, suscitant souvent l’incompréhension du lecteur et empêchant tout processus d’identification. Vous l’avez compris, rien de bien excitant ni de franchement audacieux dans ce manga gay où l’auteur – une femme – se risque tout de même à évoquer des relations pédophiles, largement sublimées rassurez-vous !


Océane Brunet
( Mis en ligne le 25/06/2004 )
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